Factory Summers

Factory Summers

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  • Create Date:2021-06-22 06:51:27
  • Update Date:2025-09-06
  • Status:finish
  • Author:Guy Delisle
  • ISBN:177046459X
  • Environment:PC/Android/iPhone/iPad/Kindle

Summary

The legendary cartoonist aims his pen and paper toward his high school summer job

For three summers beginning when he was 16, cartoonist Guy Delisle worked at a pulp and paper factory in Quebec City。 Factory Summers chronicles the daily rhythms of life in the mill, and the twelve hour shifts he spent in a hot, noisy building filled with arcane machinery。 Delisle takes his noted outsider perspective and applies it domestically, this time as a boy amongst men through the universal rite of passage of the summer job。 Even as a teenager, Delisle’s keen eye for hypocrisy highlights the tensions of class and the rampant sexism an all-male workplace permits。

Guy works the floor doing physically strenuous tasks。 He is one of the few young people on site, and furthermore gets the job through his father’s connections, a fact which rightfully earns him disdain from the lifers。 Guy’s dad spends his whole career in the white collar offices, working 9 to 5 instead of the rigorous 12-hour shifts of the unionized labor。 Guy and his dad aren’t close, and Factory Summers leaves Delisle reconciling whether the job led to his dad’s aloofness and unhappiness。

On his days off, Guy finds refuge in art, a world far beyond the factory floor。 Delisle shows himself rediscovering comics at the public library, and preparing for animation school–only to be told on the first day, “There are no jobs in animation。” Eager to pursue a job he enjoys, Guy throws caution to the wind。

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Reviews

Sandra Dussault

J'ai beaucoup aimé ce roman graphique, mais est-ce que je suis la seule à avoir stressé du début à à la fin ? J'étais certaine qu'un accident allait se produire。。。 Incroyable comment la sécurité des employés d'usine était négligée à cette époque pas si lointaine。 J'ai beaucoup aimé ce roman graphique, mais est-ce que je suis la seule à avoir stressé du début à à la fin ? J'étais certaine qu'un accident allait se produire。。。 Incroyable comment la sécurité des employés d'usine était négligée à cette époque pas si lointaine。 。。。more

Sylvie

Mais où est Paul ?La trame raconte l'emploi d'été d'un jeune dans une usine de pâte et papier。Je ne lis pas beaucoup de BD。 J'ai peu de points de comparaison。Les dessins rappellent les gros plans et les freins sur séquence ( 3 ou 4 vignettes découpant l'action ou qui mettent l'emphase sur une pensée du personnage) que l'on voit chez Rabagliatti。 Il y a moins d'éléments émotifs et peu d'humour。 J'ai apprécié relire Delisle, je pense que sa niche est de nous en faire apprendre sur des lieux , comm Mais où est Paul ?La trame raconte l'emploi d'été d'un jeune dans une usine de pâte et papier。Je ne lis pas beaucoup de BD。 J'ai peu de points de comparaison。Les dessins rappellent les gros plans et les freins sur séquence ( 3 ou 4 vignettes découpant l'action ou qui mettent l'emphase sur une pensée du personnage) que l'on voit chez Rabagliatti。 Il y a moins d'éléments émotifs et peu d'humour。 J'ai apprécié relire Delisle, je pense que sa niche est de nous en faire apprendre sur des lieux , comme dans ses chroniques de Jérusalem, ici l'usine de Québec。 Je crois tout de même que M。 Delisle a performé l'exploit de m'intéresser à un sujet qui autrement n'aurait pas été au haut de ma liste de lectures。 。。。more

Sarah Dunmire

It was pretty slow。 Mostly about how a paper factory functions and bits about his family and developing drawing/professional life。 Wasn’t impressed with the art either。

Elyse NG

3。5

Mireille Messier

Intéressante tranche de vie。 Dépeint bien l'atmosphère "au moulin"。 Intéressante tranche de vie。 Dépeint bien l'atmosphère "au moulin"。 。。。more

Clodjee

Chroniques de jeunesse nous offre un dessin assez simple qui réussi tout de même à exprimer des idées complexes。 J’adore comment la trichromie (N&B et jaune orange) est utilisée pour soutenir le récit。 On remarque surtout le soucis du détails qui s’exprime tant dans la description de ses compagnons de travail colorés, du fonctionnement des machines et même de l’architecture du bâtiment。 Dans un récit plein d’humour, Guy Delisle nous parle de ses années formatrices où, en travaillant dans une usi Chroniques de jeunesse nous offre un dessin assez simple qui réussi tout de même à exprimer des idées complexes。 J’adore comment la trichromie (N&B et jaune orange) est utilisée pour soutenir le récit。 On remarque surtout le soucis du détails qui s’exprime tant dans la description de ses compagnons de travail colorés, du fonctionnement des machines et même de l’architecture du bâtiment。 Dans un récit plein d’humour, Guy Delisle nous parle de ses années formatrices où, en travaillant dans une usine de papier de Québec, il est passé d’un adolescent gêné à un adulte prêt à affronter le monde。 À travers tout ça il trace un portrait plutôt fidèle des “gars de shop” et nous parle de façon touchante de sa relation avec son père。 Si les observations sur ses voyages, ou sur la parentalité ou sur la captivité n’en étaient pas déjà la preuve, Chroniques de jeunesse démontre bien le grand talent de Guy Delisle。 C’est une lecture très agréable qui nous laisse l’impression d’en avoir appris beaucoup sur l’auteur, sur le travail en usine et sur une époque de l’histoire du Québec。 Dans certains aspects (simplicité du dessin, récit de souvenirs d’enfance, évocation de la culture québécoise des années ’80) cela me rappel beaucoup la série “Paul” de Michel Rabagliati, mais c’est tout de même très original et distinct en soi。 Une superbe BD qui mérite absolument d’être lue。Voir aussi mon commentaire sur http://clodjee-blog。com/2021/06/12/ch。。。 。。。more

Tom

Aah, the rite of summer jobs, when school is still a part of one’s life and the onset of adulthood looms ever closer。 For many teens, it’s an introduction to the weird world of adults (apart from one’s family), whose occasional pettiness (or nonstop, depending) has an authority ominously different from that suffered under among peers or parents: the friendly, overly-touchy mentor; the resentful coworkers (having to work only summers is a privilege)。 In Guy Delisle’s newest graphic memoir, he det Aah, the rite of summer jobs, when school is still a part of one’s life and the onset of adulthood looms ever closer。 For many teens, it’s an introduction to the weird world of adults (apart from one’s family), whose occasional pettiness (or nonstop, depending) has an authority ominously different from that suffered under among peers or parents: the friendly, overly-touchy mentor; the resentful coworkers (having to work only summers is a privilege)。 In Guy Delisle’s newest graphic memoir, he details three summers he spent working in a paper mill in Montréal, starting at 16。 The son of one of the plant’s engineers, Delisle gets the gig easily enough, and immediately is challenged by the physicality of the work required during the four 12-hour shifts that make up a work week。 The heat, noise, and danger contribute to the draining efforts required of the work, which includes monitoring and trouble-shooting multi-ton rollers that produce newspaper。 It’s an all-male environment (mono-cultural, too, it seems), where preening and posturing and physical and emotional toughness are prized。 Delisle is just a kid, working a summer job, so most of the guys leave him be, letting him spend his downtime reading。 (Reading is OK—this is Canada, after all—but weeping when Lennie is killed in Of Mice and Men is not。)He develops acquaintances among the workers over the years, sees the stockpile of wood for pulp diminish each year as use of recycled paper increases, sees his father at work, and uses his factory wages to pay for his art school and his factory time to motivate him to never work in a factory again。 。。。more

Maxime Noisette

Guy a un travail d'étéSans blague, difficile d'éviter la comparaison entre les deux œuvres。 J'ai davantage apprécier celle de Rabagliati, mais celle de Delisle est efficace et touchante。 Ça m'a laissé sur ma faim par contre, je crois qu'elle aurait être plus longue。 Guy a un travail d'étéSans blague, difficile d'éviter la comparaison entre les deux œuvres。 J'ai davantage apprécier celle de Rabagliati, mais celle de Delisle est efficace et touchante。 Ça m'a laissé sur ma faim par contre, je crois qu'elle aurait être plus longue。 。。。more

Ignacio

Delisle recuerda los tres veranos que se pasó trabajando en la fábrica de papel de su ciudad natal a través de todo lo referente a la producción, su situación familiar (en especial el vínculo con su padre, ingeniero en la fábrica), y las inevitables anécdotas con el resto de trabajadores。 El tema funciona sobre todo porque Delisle tiene oficio y acierta a dosificar cada uno de esos apartados。 Unas vivencias son divertidas, otras tienen su retranca cuando hablan sobre los riesgos laborales desde Delisle recuerda los tres veranos que se pasó trabajando en la fábrica de papel de su ciudad natal a través de todo lo referente a la producción, su situación familiar (en especial el vínculo con su padre, ingeniero en la fábrica), y las inevitables anécdotas con el resto de trabajadores。 El tema funciona sobre todo porque Delisle tiene oficio y acierta a dosificar cada uno de esos apartados。 Unas vivencias son divertidas, otras tienen su retranca cuando hablan sobre los riesgos laborales desde quienes se lo toman como parte de su día a día, alguna demuestran que el paso del tiempo tampoco dejó mucho a lo que agarrarse。。。 Esta perspectiva costumbrista se enriquece con los dos momentos en los cuales toma distancia de esa cotidianidad dejando volar la imaginación: sendas secuencias casi mudas donde está lo mejor de Crónicas de juventud。 A los fans de Delisle les gustará。 。。。more

The Sporty Bookworm

Guy Delisle raconte dans ce roman graphique son boulot d'été dans une usine de papier。 C'est une expérience que ceux qui n'ont pas de parents riches connaissent tous : le boulot abrutissant en usine avec des collègues un peu white trash qui y bossent toute l'année。 Pour moi, ce fut des usines agroalimentaires : viande, poissonnerie, patisserie, plats cuisinés。。。 Mon département agricole nourrit la France et envoie même ses plats à l'étranger。 J'ai passé plusieurs étés à 2°C dans des usines frigo Guy Delisle raconte dans ce roman graphique son boulot d'été dans une usine de papier。 C'est une expérience que ceux qui n'ont pas de parents riches connaissent tous : le boulot abrutissant en usine avec des collègues un peu white trash qui y bossent toute l'année。 Pour moi, ce fut des usines agroalimentaires : viande, poissonnerie, patisserie, plats cuisinés。。。 Mon département agricole nourrit la France et envoie même ses plats à l'étranger。 J'ai passé plusieurs étés à 2°C dans des usines frigorifiques et l'expérience de l'auteur a fait écho à mes souvenirs。 Cela m'a permis de me replonger dans mon passé d'intérimaire le temps de la lecture。 Cela permet de relativiser le boulot alimentaire mais moins pénible que j'ai maintenant。 C'est la vertu de ce livre : permettre de relativiser。 。。。more

Carol

I received an advanced copy of this book in exchange for an honest review。 This graphic novel was exactly as described, the author describing his summers working in a paper factory。 It was very informative about the process of making paper, with a little bit about the author himself thrown in。 However, I kept expecting something to happen to grab my attention。 The author describes the dangers of each large machine in the factory, so I figured he is explaining this to prepare me for what was abou I received an advanced copy of this book in exchange for an honest review。 This graphic novel was exactly as described, the author describing his summers working in a paper factory。 It was very informative about the process of making paper, with a little bit about the author himself thrown in。 However, I kept expecting something to happen to grab my attention。 The author describes the dangers of each large machine in the factory, so I figured he is explaining this to prepare me for what was about to transpire。 Nope, everything went fine。 Reading his story made me feel better about my own summer jobs when I was in college。 The illustrations were well done, and I liked the use of just one color with shades of black and white。 。。。more

Eric Paradis

Dessin épuré, instructif, retour dans les années 80 dans la shop syndiquée。

Fernando Garcia

No es lo mejor de Delisle, ni mucho menos, pero si te gusta el autor, te gustará。。。 bastante。

Karine

Toujours un plaisir à lire。 Peut-être moins engageant que les Chroniques de Birmanie ou de Jérusalem mais c'est aussi agréable de voir les débuts ! Toujours un plaisir à lire。 Peut-être moins engageant que les Chroniques de Birmanie ou de Jérusalem mais c'est aussi agréable de voir les débuts ! 。。。more

Antonio

Una maravilla, como todo lo de Delisle。

Raquel

Primera vez que leo a Guy Delisle y no me ha defraudado en absoluto。 La historia, autobiográfica, y en principio sencilla - primer trabajo del escritor en la fábrica de pasta y papel en la que trabajaba su padre - está repleta de dibujos cuidados y expresivos, de viñetas en las que uno se detiene unos minutos para apreciar cada detalle, y de pequeños toques de humor。 Deseando leer el resto de ciudades biográficas que ha convertido en libros。

Eva

Le plus intéressant est apprendre comment l’usine fonctionne!

Raquel

Té un punt de precarització i de classe molt interessant

G。 Connor Salter

The storytelling is just as engaging as his earlier book Pyongyang, and DeLisle does a great job of communicating it in a simple style which turns out to be quite beautiful in its simplicity。 Speaking as someone who had worked my share of blue collar jobs in college, I found the sense of grungy culture at the paper mill fascinating。

Ryan

I am not usually a fan of books that are character studies, but this one is and I was thoroughly intrigued。 We follow the author/artist as he works summer in the paper mill between studying to be an artist。 The lesson on how paper mills work was really cool, but following Guy as he wades through life as the young person figuring out what it’s all about is compelling。 Try not turning the pages one you start。 The entire book is black and white with spots of a yellow or orange color and it creates I am not usually a fan of books that are character studies, but this one is and I was thoroughly intrigued。 We follow the author/artist as he works summer in the paper mill between studying to be an artist。 The lesson on how paper mills work was really cool, but following Guy as he wades through life as the young person figuring out what it’s all about is compelling。 Try not turning the pages one you start。 The entire book is black and white with spots of a yellow or orange color and it creates a perfect setting for this story。 This book was a translation so it marks off some reading challenges for me which is good。 。。。more

Taylor

I was happily surprised at the sentimentality in this piece of Delisle's work, which usually has macabre undertones and dark histories。 It was a pleasure to head home to Quebec City, and get a glimpse into his late childhood。 Very much a coming-of-age graphic novel - the story of an artist's beginnings that left me wanting more。 Thanks to NetGalley for the ARC。 I was happily surprised at the sentimentality in this piece of Delisle's work, which usually has macabre undertones and dark histories。 It was a pleasure to head home to Quebec City, and get a glimpse into his late childhood。 Very much a coming-of-age graphic novel - the story of an artist's beginnings that left me wanting more。 Thanks to NetGalley for the ARC。 。。。more

Patrick Martel

(3/5, I liked it)Trois chapitres, un par été travaillé à l’Anglo (aka : la Reed, la Daishowa, la Stadacona, ou la White Birch), cette usine de pâte et papier située à Québec, près de l’endroit où la Rivière St-Charles se jette dans le St-Laurent。 L’image et l’odeur de cette usine font partie de mon environnement visuel et olfactif depuis toujours ―même que depuis 1992, je travaille juste en face, sur l’autre rive de la St-Charles。 J’ai des amis qui y ont eu des emplois d’été, j’en ai d’autres do (3/5, I liked it)Trois chapitres, un par été travaillé à l’Anglo (aka : la Reed, la Daishowa, la Stadacona, ou la White Birch), cette usine de pâte et papier située à Québec, près de l’endroit où la Rivière St-Charles se jette dans le St-Laurent。 L’image et l’odeur de cette usine font partie de mon environnement visuel et olfactif depuis toujours ―même que depuis 1992, je travaille juste en face, sur l’autre rive de la St-Charles。 J’ai des amis qui y ont eu des emplois d’été, j’en ai d’autres dont les pères y travaillé toute leur vie。Ce que propose Guy Delisle est un retour sympathique et parfois nostalgique sur cette période de sa vie。 On y voit les grandes lignes de ce à quoi consistait son quart de nuit, ses tâches, le fonctionnement de certaines machines, les routines dans l’usine et les personnages qu’il côtoyait。 On le voit dans les autres heures qui comblent ses journées : dormir et dessiner。 Relation plutôt peu loquace avec ses parents。 Pas de présence d’ami。 Un ado solitaire。L’auteur-dessinateur a le même âge qui moi。 Nous avons grandi dans la même ville。 Ses références sont miennes : dans son parcours à vélo pour se rendre au travail, j’y reconnais les rues (De La Canardière, Des Capucins, la 2e Rue), le Mail St-Roch, les disquaires, le bus numéro 37, les affiches dans sa chambre, les modes。Bien que ces CHRONIQUES DE JEUNESSE m’ont plu et diverti, il n’en demeure pas moins que cet album, peu prétentieux, est excessivement léger et, somme toute, modestement marquant。 。。。more

Asier Saez-cirion

3。5

Siina

Factory Summers continues the comics about Delisle's own life by now focusing on his times working summers in a paper mill when he was younger。 I also live in a city where there's a paper mill and thus reading this was interesting。 Delisle draws and explains the factory work well and easily enough so that everything seems quite easy in a sense。 I also liked that he decided to write this from his own point of view and what he saw。 His times at the mill were interestingly mirrored in his relations Factory Summers continues the comics about Delisle's own life by now focusing on his times working summers in a paper mill when he was younger。 I also live in a city where there's a paper mill and thus reading this was interesting。 Delisle draws and explains the factory work well and easily enough so that everything seems quite easy in a sense。 I also liked that he decided to write this from his own point of view and what he saw。 His times at the mill were interestingly mirrored in his relationship with his father, although I wished we had seen more of that。 The style is so him and the rhythm is good once again, so reading this was quite pleasant。The art is great, since Delisle's slightly naive style works with the topics he presents。 I like the color world of greyish green and light yellow。 It's an odd and hollow combination, but somehow pinpoints the time well。 I just wish there had been some kind of a plot in the comic so that the factory could have been a story。 Perhaps I also wished for more history of the factory too, which made Factory Summers a slight letdown。 This is a good comic, but this could've been better。 。。。more

Mélanie

Je me sens tellement mal de donner 3 étoiles, moi qui aime tant les autres BD de Guy Delisle。 On dirait que je n’ai rien ressenti。。。 J’ai lu plusieurs avis de gens qui faisaient un rapprochement avec Rabagliati。 Ça doit être ça mon problème, car Paul m’ennuie particulièrement! :)

Shelley Carr

review coming later

Émilie

This review has been hidden because it contains spoilers。 To view it, click here。 Un roman graphique qui flirte entre le témoignage et le documentaire, j'ai adoré! Les descriptions et illustrations du travail des "gars de shop" sont stupéfiantes, pour une néophyte du moins。 Les petits cours d'histoire sont bien intégrés au récit et je peux maintenant me figurer ce qui se passait dans l'usine à papier où j'ai vécu durant mon enfance (et qui a elle aussi changé de noms maintes fois!)。 Vraiment, c'est à lire et à découvrir! Un roman graphique qui flirte entre le témoignage et le documentaire, j'ai adoré! Les descriptions et illustrations du travail des "gars de shop" sont stupéfiantes, pour une néophyte du moins。 Les petits cours d'histoire sont bien intégrés au récit et je peux maintenant me figurer ce qui se passait dans l'usine à papier où j'ai vécu durant mon enfance (et qui a elle aussi changé de noms maintes fois!)。 Vraiment, c'est à lire et à découvrir! 。。。more

Joëlle Boucher-Kirouac

3。5 - J’ai bien aimé plonger dans la culture industrielle de la ville de Québec, certes moins exotique voir plus banale que les cultures auxquelles l’auteur nous a habituées à découvrir dans ces autres chroniques。 On est loin de l’enlevante tension de S’enfuir ou du totalitarisme du Pyongyang。 Interessante présentation des liens étranges qui se tissent entre collègues qui n’ont rien en commun à part des quarts de travail de 12 heures physiquement épuisant。

Anthony Lacroix

C’est vraiment le fun de voir l’envers d’une usine de pates et papiers pour moi qui vient de windsor : fief de la Domtar

Anne-Marie

Wow, bravo à Guy Delisle qui a réussi à rendre une usine de pâte et papier fascinante。 Ce que j'adore de ses BD, c'est que c'est tellement informatif, mais aussi truffé de petites anecdotes cocasses et humaines。 Une très belle lecture。 Wow, bravo à Guy Delisle qui a réussi à rendre une usine de pâte et papier fascinante。 Ce que j'adore de ses BD, c'est que c'est tellement informatif, mais aussi truffé de petites anecdotes cocasses et humaines。 Une très belle lecture。 。。。more